😰 OĂč je retrouve mon angoisse sociale…

Du travail

Hier j’ai enfin rĂ©alisĂ© cette tĂąche difficile autour de laquelle je tournais. Toujours ce trac et cette procrastination devant les enjeux de conception. Il s’agit cette fois de la maquette moche pour an super collĂšgue Ă  moi chez Oxalis, Vincent Kadi, qui accompagne les organisations mĂ©dico-sociales, sociales et de l’ESS. Al fait un travail passionnant, al s’engage Ă©normĂ©ment au cĂŽtĂ© de ses clienz, avec un regard expĂ©rimentĂ©, documentĂ© et bienveillant. ça a beaucoup de sens pour moi et ça m’occasionne beaucoup de plaisir de l’accompagner.

L’aprĂšs-midi, j’ai aussi prĂ©sentĂ© la façon dont je comptais intervenir Ă  une nouvelle super Ă©quipe de dĂ©veloppaires avec laquelle je commence Ă  travailler. Als m’ont tĂ©moignĂ© leur enthousiasme par mail Ă  l’issue de la rĂ©union. ça m’a fait Ă©normĂ©ment plaisir et motivĂŠ. Ce genre de retour, on ne le fait pas assez souvent, et pourtant, combien ces signaux positifs contribue Ă  la qualitĂ© de la relation et au confort de travail


Des questionnement sociaux

Enfin, j’ai passĂ© la fin de la journĂ©e avec mes colocataires. U veut cĂ©lĂ©brer son installation dans la maison (qui a Ă©tĂ© le fruit de beaucoup de travail et de persĂ©vĂ©rance) avec une crĂ©maillĂšre, et inviter plein de gens du coin. Je suis triste de constater que la perspective d’une fĂȘte chez moi avec plein de gens que je ne connais pas, plein d’amiz ou de connaissances d’U, m’angoisse largement plus que qu’elle ne m’enthousiasme.

Je suis contente pour al, OK qu’al veuille et puisse cĂ©lĂ©brer ça, mais j’ai peur de me sentir Ă©trangaire et bloquĂŠ par des conventions sociales dans ma maison. Je sens que ça vient rĂ©veiller des traumas liĂ©s Ă  mon annĂ©e Ă  Quimper et Ă  de prĂ©cĂ©dentes relations. J’aimerais pouvoir contourner ça, au moins rĂ©ussir Ă  ĂȘtre neutre vis Ă  vis de cet Ă©vĂšnement.

U a acceptĂ© qu’il ait lieu en aprĂšs-midi et pas en soirĂ©e. La perspective d’une soirĂ©e oĂč les gens font la fĂȘte et discutent jusqu’au bout de la nuit (en partie dans la cuisine juste en dessous de ma chambre) Ă©tait franchement angoissante pour moi.

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